Un pirate bien sympathique
Il ne s'agit pas du tout que d'économie
L'ignorance des gens – que l'on croise dans la rue – en ce qui concerne la moindre notion d'économie (j'entends : avoir des idées personnelles et senties sur la question) est déconcertante. Mais il ne s'agit pas du tout que d'économie.
Touristes Mât Ciel Soirée Voyage Des Nuages Yacht - Pirate, selon Pixabay (lien)
Au 18ème siècle, on aurait pu dire aussi que le « problème » c'était le manque d'instruction. Aujourd'hui, il y a la télévision, Internet, les portables, les livres de poche, la radio, l'instruction publique.
Aujourd'hui, plus d'un américain sur deux, pourtant, ne « croit » pas non plus à Darwin et « croit » au contraire que la Terre a été créée il y a 7000 ans. Pourtant, ils ont là-bas les technologies et les sciences (géologie, paléontologie, etc.) les plus pointues, et les savants de toute première pointure.
Le problème, si tenté qu'il y ait un problème, c'est donc les gens.
Ils posent dans leur ensemble un intéressant problème métaphysique, dans le genre : « les contes de fées existent-ils vraiment (et avec eux les fameuses grenouilles transformées en citoyens charmants – mais dont le « fond » persiste et demeure, en même temps qu'un certain goût pour les mouches – vous comprenez ??) ??? (lien)
Pirate. Corsaire. Ou quelque chose dans la flibuste ?
Ils sont peu dignes de confiance
Le moins que l'on puisse dire c'est que presque tous me semblent peu dignes de confiance ou d'estime : en ce qui concerne le poids véritable de leur parole et de leur courage. (Je ne parle pas du tout d'honnêteté et je ne fais pas du tout de morale. Je m'applique à constater.)
C'est à croire qu'ici, l'argent ne vaut rien que par l’illusion de tous ceux que dirigent et manipulent ces gens de la Fédération du Commerce.
Il y a aussi tous ces bons génies, certains de ces politiques à trois vœux, qui obligent à ce que l’on croit d’office à certaines vérités ou pseudos vérités ou même fakes. Ainsi : Jésus Christ serait un personnage historique et puis surtout du moment qu'ils parlent au nom de Dieu, eux on peut on doit tout croire d'eux etc.
Et puis tout le monde peut devenir millionnaire, etc. Et déjà au nom de l'éveil (woke), les nouveaux Inquisiteurs de tous les jours ont désigné les hérétiques de la Sainte Tolérance de demain.
Être woke, mais qu'est-ce que ça veut dire?
« Dans un contexte de combat en matière de justice sociale, cette expression définit quelqu’un qui est sensibilisé aux injustices qui peuvent avoir lieu autour de lui. On utilise souvent cette expression en opposition à 'être endormi', soit ne pas être éduqué sur les enjeux socio-économiques et sur les questions raciales", écrit Radio-Canada.
Si son sens premier est jugé positivement, il a depuis dérivé. "Si le terme 'woke' peut toujours avoir cette dimension de lutte contre les inégalités, le terme 'wokisme' agglomère des choses très différentes comme l'écriture inclusive, les études de genre, la remise en cause de certaines figures historiques..., estime Albin Wagener, enseignant-chercheur à Rennes-2 en discours et communication, interrogé par BFMTV.com. »
BFM.TV (lien)
Ils souhaitent empêcher toute pensée ou réflexion des autres, et vous obliger ainsi à croire en eux, c’est leur trucs pour vous illusionner pour m'illusionner.
Parce que vous comprenez, ils manquent tellement de charisme et ils inspirent tellement peu confiance, juste de les regarder.
Et ils le veulent absolument, l'argent et le pouvoir.
Ce sont les illusionnés des gens de la Fédération du Commerce et des bons génies à trois voeux sur lesquels reposent tout le château de cartes. Ils en payent le prix, de leur état d'illusionnés, en sueur et en sang. C'est qu'ils le valent bien ?
Les banquiers, les politiciens, les fonctionnaires, les artisans, les prolos, les actionnaires et même les petits truands aux mains d'argent – ce n'est pas tellement qu'ils sont tous sans foi ni loi que je leur reproche – bien au contraire – c'est qu'ils ne pèsent pas le poids de l'argent et de l'or qu'ils sont censé posséder, et qu'ils voudraient me faire porter en tant qu'illusionné de leurs fards et de leurs artifices.
Je vois pareillement le plaisir des petits trafiquants de came et celui des actionnaires, et leurs longues voitures dans les rues de la Cité. La police protège les uns et traque, parait-il, les autres, c'est leur seule différence, est-ce ? Au pays des Antiques, Hermès était le dieu des commerçants et des voleurs. Après tout l'homme est truand et tout cela n'est pas bien méchant n'est-ce pas. Là, ami-e lecteur-trice, je te laisse l'occasion d'être plus moral-e que moi, ou au contraire moins moral-e que moi, et je t'invite à exprimer ton sentiment profond dans les commentaires de cet article.
« Curieux, à gauche comme à droite, on manie aussi bien la dague que le poison ! La politique vue par la fenêtre des Borgia ... » [*] : l'expression est bien vue. Chacun a la bouche pleine du mot « démocratie », oui, et chacun prétend incarner la morale. Mais dans ce pays quand on invoque la morale, c'est que les jeux sont déjà faits et que la victime (pour cause d'intérêts divergents) a finalement été désignée pour l'hallali et la curée générale. D'accord, d'accord.
Leurs chiens valent mieux qu'eux, et j'aime bien les chiens, et je ne serai pas leur chien non plus.
Complètement pillés et ravagés
La capacité de conditionner et manipuler les populations par des messages subliminaux - jusqu'à transformer ces populations même physiologiquement, ainsi, à coups de gelées royales et subliminales, se constituent les citoyens honnêtes et la reine des abeilles...
« On dirait que dans ce pays, pour manger à sa faim, il faut être soit un truand, soit un curé. » (Sergio Leone)
Les hommes politiques, c'est un peu entre les deux. Ils sont mi-truands, mi-curés. Un peu de la fourmi, un peu du bon génie.
Qu'en ai-je à faire des « Hommes Politiques », et leurs « Bons-Clients », qu'ils gardent leurs salaires et leurs statuts et leurs privilèges ? – quand je ne leur souhaite, à eux et sur toutes leurs baronnies, de ne connaître que la défaite, et puis surtout d'être complètement pillés et ravagés – par un Drakkar de passage – ou par quelques amazones tranchant dans du bourdon taré ?
Là aussi, ami-e lecteur-trice, je te laisse l'occasion d'être plus moral-e que moi, ou au contraire moins moral-e que moi, et je t'invite à exprimer ton sentiment profond dans les commentaires de cet article.
L'argent est le miel de la ruche ultramoderne, et parfois au contraire ce n'est que l'appât qui illusionne. Où trouver le vrai miel royal qui vous rendra la Reine des abeilles, ou tout simplement au top du rêve américain de la villa avec piscine, au top d'un nirvana synthétique et vulgaire. Telle est toute la question.
Je ne crache pas sur l'argent, j'aimerais en avoir beaucoup plus. Et du sexe. Mieux vaut être beau, jeune, intelligent et riche que l'inverse. d'accord d'accord.
C'est quoi le bonheur, c'est quoi être heureux ? La réalité, ma réalité, qu'est-ce que c'est ?
« Je veux être un homme heureux » et puis je veux devenir quelqu'un de bien, un genre de corsaire ou d'honnête pirate neutre bien sympathique.
Odal GOLD
[*] non666 sur Agoravov.fr
PS :
voir aussi : « Les amazones sont bon signe »