Moi. Pas être Prométhéen du tout.

 

 

     L’épée est certes une arme et un symbole bien humain

 

 

     Pas être Prométhéen du tout. Moi, mon niveau, c’est un avion SAAB-J21 simplifié, et les bandes dessinées SF et Marvel des années 1920, et encore.

     Le reste, les Tablettes, Google Maps, le GPS, j’utilise, et même bien et même facilement, mais je ne crois pas du tout « maitriser », comme on dit. La télévision, déjà, qu’est-ce que c’est ?

     La question peut paraître stupide, mais qui sait vraiment comment ça marche, et derrière, quel genre de début d’intelligence, ou d’intelligence ?

     Et alors Internet, la technologie d’un smartphone, vraiment, qu’est-ce que c’est ?

  

    Je me répète, je sais, mais il y a un tas de choses que j’utilise, et même mieux que beaucoup, et que je ne « maitrise » (je ne ressens je ne « comprends ») pas du tout, comme on dit, en fait. Mon feeling a ses limites ?  

 

     Et sans me vanter, ici, je suis plutôt mieux que les autres.

     Rien que question empathie, et certes l'empathie fait partie de l'inteligence : dans le meilleur des cas, les autres les petits gars et les Géraldine dans les bar-tabacs, ils sont prêts à tronçonner leurs propres clones leurs propres jumeaux et leur voler un poumon et un cœur, pour vivre quelques années de plus. Je sais. 

     Pas moi.  Et encore je suis pas tout blanc, ni tout noir.

 

     Et encore, c'est ce que j'en dis des autres des petits gars et des Géraldine dans les bar-tabacs, ceux chez qui je discerne un reflet de pensée, des tripes et du cœur, comme on dit.   

     Et ce que j’en dis, du côté obscur de beaucoup de gens par ici, c’est bien pire que ça encore.     

 

     Même « leur Histoire » avec un grand H, elle ne fait pas rire. Et encore je suis pas tout blanc, ni tout noir - comme on dit.

  

    L’épée est certes une arme et un symbole bien humain, qui ne correspond qu’à une guerre ou à un combat d’humains avec d’autres humains. Style le héros Erik du film « Érik le Viking » (1989), j’aime bien la guerre et le Raid, mais pas trop… après je me demande. Peut-être un petit peu trop fragile, peut-être un petit peu trop rêveur.    

 

 

 

 

     Ni pour moi, ni pour mes congénères

 

 

      Mes congénères ils ne me font pas rire. Pas du tout prométhéen, disais-je. Me prendre trop au sérieux, trop me considérer, même pas. « T'es arrogant », même pas.

     Ici, et quoi qu’au fond je ne sache pas bien de quoi s’est inspiré la mythologie judéo-chrétienne, pour mieux en parasiter les quelques beautés (l’Histoire est truquée, par définition) : de leur mythologie truquée je ne comprends que Simon Templar, dit « Le Saint » (The Saint), qui est un personnage de roman policier créé par Leslie Charteris en 1928, repris ensuite par d'autres auteurs et adapté au cinéma – et le Blues (Le Blues, que même que « c’est des mains noires qui lui ont donné le jour, et ah que toute la musique que j'aime elle vient de là, elle vient du Blues ! »).  

  

     Beautés de ce personnage « à la limite » Simon Templar, et des coups de musique Blues & Soul (musique de l'âme) qu'on a parfois : ils ont certes été inspirés par quelque chose dans l’ère du temps du judéo-christianisme, à condition qu’on ne prenne pas leurs textes à la lettre, et peut-être « malgré » lui. Je ne suis pas non plus pour suivre aveuglément le Prométhée Levantin (J.C.).

     Vraiment pas prométhéen du tout, disais-je, je sais, je me répète. Il y a du feu des dieux (et de Dieu, je n’en parle même pas), qui n’est fait ni pour moi ni pour mes congénères.  

 

     Encore moins pour mes congénères.

     Tu n’es pas mieux que les autres ? « T'es arrogant », moi non plus.

     Et encore je suis pas tout blanc, ni tout noir - moi non plus.

     Ha bon, vraiment, c’est comme ça. 

 

     Et je ne suis pas une victime de profession. Je me verrais facilement (trop facilement ?) à l'abri, du bon coté de la Porte d'un Temple Vajra,, mais alors avec sous la main un « pistolet Remington Navy 1858 » au moins. 

  

 

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    Ils savent très bien ce qu’ils font

 

 

     Konrad Lorentz, il a parlé de quelque chose comme la puissance du Système du conscient et de l’Inconscient collectif de certaines sociétés ou structures humaines : pour expliquer le décalage entre la technologie la « Science » proposée – et ce que la plupart des individus « maitrisent » vraiment, c’est-à-dire bien peu.

     Le Système réduirait les individus à n’être plus que des parties de lui-même, et ainsi organisé, serait bien plus performant et meilleur que la somme de ses composants. Ainsi, aucun de ses composants ne pourrait même plus envisager de le comprendre.

 

     « Science sans Conscience n’est que ruine de l’âme », c’est un dicton très important... Je me défie du Système, qui est tellement fort ici qu’il me permet même d’écrire ces lignes. Je me défie même des dieux, car comment ne pas se défier de ce qui vous dépasse totalement, et que l’on ne peut appréhender sans un minimum d’appréhension (parfois, la beauté peut aussi avoir un côté « cruel », n'est-ce pas ? » . En même temps, les dieux et leurs mystères, ou du moins ce que je crois en appréhender, je préfère les trouver la plupart du temps : plutôt bienveillants.

     « Aide-toi, et le Ciel t’aidera » (peut-être). Cela, je comprends.

  

     Je me défie de la plupart de mes congénères, tu ne peux pas savoir à quel point. Je ne les renie pas, mais la plupart ici ne sont même pas comme des enfants avec des jouets gadgets inconnus, en fait ils sont exactement l’inverse de ce qu’ils voudraient faire croire : car le plus souvent ils savent très bien ce qu’ils font.

 

     Ce qu’échafaude Konrad Lorentz, à savoir que 3 ou 10 000 humains sont beaucoup plus performants dans un Système, à tous points de vue, que la somme des individus lambda qui le composent (c’est la force et l’attrait ( ?) d’un « Système ») : c’est peut-être un début d’explication de cette différence entre l’excès de simplicité de la plupart des gens et la complexité de l’environnement humain…

     Mais, toujours d’un point de vue humain, de mon point de vue, à un moment dans la réflexion, on se noie aussi dans les paramètres : les mathématiques et le nombre d’or dans la nature, le biologique, la formation l’éducation l’histoire, la spiritualité, les influences stellaires, les dieux, l’âme des êtres et des choses, l’intelligence, l’envie d’avoir envie, etc.

     Konrad Lorentz, c’était quelqu’un. Ses réflexions font même un peu « peur ».

 

     Car penser c’est une chose, mais « être » c’est peut-être aussi parfois penser, mais c’est beaucoup plus que cela, et ça rejoint le feu des dieux.

     La plupart penseront que je raconte n’importe quoi que c’est une vraie bouillie, qu’est-ce que c’est que toutes ces inepties, c’est du charabia, et pourtant, et c’est comme vous voulez.

  

 

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04/09/2019
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