Exactement comme le dirait un Kevin !
Très exactement comme le dirait un Kevin (lien) : vivre et mourir à peu près humainement, ici, ce ne sera déjà pas si mal.
Et c'est la vérité de la vérité.
Et le lait des brahmanes
Et comme un Francis Drake, le fameux pirate et corsaire (lien).
Et une guitare (lien).
Et comme une volute de H, d'opium, de moquette des années belles, époques de l'excellentissime psychédélique Salvador Dali (lien) : cela et la brise marine m'apportent de la lumière dans les yeux et dans le cœur.
reflection - de Pixabay (lien)
Comme un sentiment de vivre, une envie de vivre, relativement simple, relativement simple, cela est.
Je ne sais pas si c'est vraiment explicable, c'est comme ça
Je ne fais pas partie de la réalité de la télé, et de la réalité des bandes dessinées à partir de 7 ans. Et jusqu'à 77 ans, il y a des manières de considérer ce que ces livres racontent aussi. A la fois un chaton et un lion, un chiot et un loup, un enfant et un homme, et j'avance sur la milky way (lien), mal armé, pas encore armé, pas encore trop armé, I don't know.
And I hope I'm not the only one.
Et sur le chemin, la nature sauvage, et celle qui se dit civilisée, et la magie et le « spirit » étincelant des avions de combat modernes, et je trace ma route et j'avance.
Et mes collègues « humanoïdes associés » bien sûr, il y a.
Il y a bien quelques cowboys, et « même des défroqués et même des gars « règlos » (lien) », pas de conseil.
Je me juge un peu immature, mais quand je regarde ailleurs, souvent il n’y a juste pas de mot.
Certains n’ont même pas tué le père ou coupé le cordon ombilical, et ils ne le feront jamais, et ils resteront ainsi larvaires et crépusculaires à jamais.
Cela ne les intéresse pas du tout.
Ils veulent me refiler la croix de leur mère, et il parait que c'est normal, et ils et elles sont vraiment comme ça.
Chez eux il n’y aura jamais rien d’autre, et ils savent très bien ce qu'ils font.
Je ne sais pas s'il faut mettre des mots ou du silence.
L’autre jour pour la première fois, j’ai bien scruté tous ces gens avec leurs smartphones dans la main, dans la rue dans la trop grande ville, presque tous comme baladés toujours tout droit par leur smartphone, toujours plus haut, et toujours plus haut, tout en haut de l’affiche.
Ils sont contents comme ça c'est tout et même qu’ils en redemandent.
C’est le plus souvent comme si je n’avais pas d’écho d’eux, pas de vraie empathie et pas de vraie réflexion : que ce qu’ils viennent de lire sur leur smartphone.
J’ai de plus en plus ce genre d’impression tenace.
Je ne sais pas si ces smartphones les baladent ainsi comme des chiens qu’on peut aimer, ou comme des petits cochons promis à ce genre d’avenir et pas que pour le X.
Et certes ces smartphones n’auront pas ma caution morale non plus, dans un sens ou dans un autre.
Je ne sais pas s'il faut mettre des mots ou du silence, là non plus, moi non plus.
Parfois la saleté de la saleté qui se cache derrière sous un tapis.
Parfois la saleté de la saleté qui se cache derrière des tonnes de parfum.
Parfois la tragédie de la tragédie qui se cache derrière la gloire.
Parfois la tragédie de la tragédie, cette tragédie qui se cache derrière la technologie tellement prônée chez les Prométhée et les Titans, et c'est la vérité de la vérité : « Ces gens-là du genre Prométhée du genre cannibale (lien) ils ne supportent pas que d'autres aient du plaisir et de la satisfaction.
Cela les insupporte et les énerve et ils et elles ne rigolent jamais - eux.
Du genre horreur et catastrophique, et souvent au nom de la liberté : ces gens-là du genre Prométhée, ils savent très bien ce qu'ils et elles font.» (lien)
Et certes j’ai le feeling japonais (lien) et je sais que la technologie comme on dit est aussi à double tranchant.
Je ne sais pas s'il faut mettre des mots ou du silence.
Fourchette sculture - The Game ! - de Pixabay (lien)
Motörhead - The Game (lien)
Ainsi disait le français Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».
Et LOKI ou une incarnation de LOKI (lien) tenant une éprouvette de laboratoire : il me semble bien discerner.
Ils sont vraiment nombreux du coté de LOKI, et pas que des crânes d'œufs qui font des Frankenstein (lien), et pas que des salauds de pauvres, dixit Jean Gabin (lien).
Quatre ou cinq lignes de tout cela je sais je comprends et j'assume, et les plaies et les bosses qui vont avec.
Ce soir là, je marchais dans les rues, de Paris de Montparnasse à Saint-Michel.
J'ai croisé environ 400 jolies filles et les lumières des réverbères. Et il y avait un peu de pluie pour mieux appréhender un éventuel écho. Et j'ai bien regardé, et même j'ai vérifié.
Et ce n'était donc pas de la timidité, ni un manque d'envie, mais en fait : il n'y avait que le bruit de mes pas sur l'asphalte, et mon instinct de survie.
Drôle d'histoire, encore une histoire de faux semblants et d'apparences et puis c'est comme ça.
Et il y en a même qui en ont conclu que c'était normal.
Encore une histoire de papiers de « papieren », de papelards, et c'est bien tout ce qui devrait compter.
Encore une histoire que même moi je vais me gêner, et même que le monde serait simple.
Ou bien encore à définir, juste des histoires de serpillières : il n'y aurait bientôt plus que ça, des histoires de serpillères et de saleté de la saleté qu’on cache il parait que c’est comme ça qu’il faudrait faire.
Et déjà beaucoup ne font déjà plus que semblant d’aimer la musique, et pour eux : ce serait juste utile pour le travail ou utile pour le sommeil et utile.
Un jour, et ils y croient, il faudrait y croire, le blues et la musique n'existeront plus.
Pourquoi tu mets un point d'interrogation, pourquoi Tu mets toujours un point d’interro ?
Mais comment « ça se fait » ?
Et qui pourra comprendre savoir assumer et apprécier, et en avant les histoires, et tout cela en même temps, et les plaies et les bosses qui vont avec : celui-là j'aimerai être un jour.
chat Tigre animal Fontaine Wallace - de Pixabay (lien)
fontaines Wallace : (lien)
Et la sérénité et le plaisir relativement simples, relativement simples de ces instants avec le soleil dans les yeux et dans le cœur : ceux-là j'aimerai vivre et être parfois, et peut-être même qu'on peut le dire.
Faire le point, faire un reset, et la défragmentation de mon IBM dans ma tête.
Tracer ma route, à la fois comme un chameau qui porte ses charges ainsi que souvent la vie des humains, et puis aussi avec de l'imagination et du cœur : comme certains héros de cinéma.
Et mon âme est comme un bateau, et je suis le capitaine de ce bateau.
Et la cale de mon bateau un peu pirate un peu anglais, elle est pleine d'opium. Pire encore que pendant la guerre du même nom (lien).
Et même que l'opium du plus grand nombre n'est pas forcément le meilleur.
Et même que ce serait juste une question de dollars.
Aucun doute tu ne dois.
Odal GOLD