Et pour le reste, on verra bien. C'est comme ça.
Et ne pas devenir cynique
Et certes le sujet de cette dissertation n'est pas le coefficient chance – avoir de la chance, qu'est-ce que c'est ?
Ce-pistolet-remington-1858-navy : et certes la chance qu'est-ce que c'est ?
Ou de savoir si les géants et les géantes (s’ils existent) sont capables ou non d'écrire des livres dans le genre : « Comment cuisiner l'humain et autres humanoïdes associés ».
Ce qui serait quand-même complètement extravagant comme sujet de dissertation, et d’ailleurs : c’est bien pour cela que ce genre de sujet de dissertation n’existe pas et c’est pour cela aussi que ce n’est pas le sujet ici.
Comme dans certains contes pour enfants, et dès qu'il nous reste un peu d'imagination de cette époque, il y a néanmoins ce questionnement : « là où tout semble si calme, là où il semble que le dernier danger n'existe même plus, et donc là où il semble exister un calme bien plus terrifiant encore que le calme avant la tempête, n'est-ce pas là que la réalité peut aussi dépasser la fiction ? »
Il y aurait comme un paradoxe dans ce genre de réalité, qu’à essayer de la comprendre on en arrive à encore moins comprendre et que c’est même bien de ne pas trop comprendre et même : « qu’est-ce que c’est bon pour le cigare ! » (lien)
Et donc à part ça sinon, sinon, rien d'autre, à part quelque chose comme les derniers géants ou les derniers cannibales de Bornéo, et même que ça n’existe plus – viscéralement l’horrible et l’incompréhensible à ce point-là ça n’existe plus et qu’est-ce que c’est bien, au moins « quelque chose qui ne prend plus la tête » – sujet clos.
Et en considérant que ça a pu exister, la conclusion perso est qu’il faut poser et bien poser cela : il ne faut jamais rien faire pour des gens pareils, ou au pire faire moins que rien (si tenté que je n’en rencontre jamais, puisque ça n’existe plus).
Cette conclusion posée et bien posée, ensuite, perso : je ne veux pas devenir cynique sur ce qui a été et n’est déjà plus.
Pour moi des gens comme ça, après ou avant d’une certaine manière, juste ça n’existe pas.
Et là je suppose, là vraiment : qu’on s’en sorte ou pas, et quel que soit la manière de considérer des gens qui d’ailleurs n’existent plus, cela n’aurait vraiment pas été de la chance. Et déjà « c’est pas » si facile considérer qu’il a pu exister des gens pareils.
C’est la vérité de la vérité, sur Ta tête, oh ami et amie lectrice, oh yes !.
Certes l’espèce des « humanoïdes associés », sur cette planète-dimension, est plutôt corruptible, et donc même moi. Mais bon.
Après le goût perso de ne pas vouloir devenir cynique, je sais je me répète, et c’est ça qui est important.
Et donc.
Écrire pour être clean
D’un coup j’ai aussi considéré cela.
Et pourquoi ne pas envoyer de l’argent au Père Noël, pour le remercier, de tous ses cadeaux par milliers, et en quelque sorte être clean et aussi un peu réglo, qu’il existerait quand-même « quelques gars réglos et même des défroqués » (lien).
Eh bien, apparemment personne n'y a jamais vraiment pensé, dans ce pays qui n'existerait pas et où ils et elles croient des sornettes que même moi je ne peux pas croire.
Faut voir.
Comme si beaucoup croyaient à ce genre de sornettes que tout leur serait dû, et sinon ?
Et sinon, et bien rien mon pote.
Et même qu’il ne faut pas se gêner, surtout quand on est du bon coté, mon pote.
J’ai bien repéré l’adresse du l’adresse du Père Noël en Laponie : « Père Noël, Bureau de poste principal du Père Noël, 96930 Napapiiri, Finlande ».
Et puis il faut que ça respire, et même l'art des pinceaux de la calligraphie chinoise et le Street Art Graffiti et des papelards et des fichiers « truc » et même l’art du fric c’est chic.
Et bien mon pote, oh ami lecteur, oh amie lectrice, je te le jure sur ta tête à Toi : aucun moyen d’envoyer du fric c’est chic au Père Noël, ne serait-ce que pour le remercier de ses cadeaux par milliers !
Comme est-ce possible ?
Cela peut paraître étonnant à constater.
Il me semble avoir pensé à tout et ayant tout considéré comme il fallait que je le fasse : sur ce sujet de dissertation là.
Je sais : cela peut paraître curieux.
C'est comme ça. Cela peut paraitre curieux.
Mais sur l'art des pinceaux de la calligraphie chinoise et sur le Street Art Graffiti et des papelards et des fichiers « truc » et sur les dossiers « machin » en général et même l’art du fric c’est chic : c’est ce que j'en vis ici, je n'ai pas autre chose à ajouter.
C’est la vérité de la vérité, c’est ce que j’en vis, oh ami lecteur, oh amie lectrice : sur Ta tête à Toi je te le jure !
Aujourd’hui il me semble que j’avais quelque chose à dire.
Mais même là tout le monde le sait bien : « La vérité est ailleurs ! »
Et pour le reste, on verra bien.
C'est comme ça.
Odal GOLD