Demain ils peuvent te couper en tranches

 

 

Ceux qui qui se prétendent les seuls et tout en haut de la chaîne alimentaire.

 

Qu’ils soient athées ou croyants.

 

 

 

 

yellow flowers watercolour-paint

 

yellow flowers watercolour-paint - de Pixabay (lien)

 

 

 

 

Tu ne sers à rien

 

   Je ne l'avais pas vu depuis longtemps et on s'est croisé de manière civilisée.

   C'était un genre d'humain très courant par ici, un humain du genre « bon genre », du genre à penser très fort « Toi tu ne sers à rien » et « Mais où on va te mettre », c'est pas lui c'est l'autre.

   Un sage et en même temps un bonhomme comme on dit, « il avait free il avait tout compris », il incarnait le rêve occidental : « libre, majeur et vacciné » .

   Je l'ai vu réfléchir que moi, ça lui sautait aux yeux, je ne suis pas du genre un bonhomme ou plutôt en ce qui me concerne moi un petit bonhomme, dont on peut faire «  quelque chose d'intéressant », mais que je dois quand-même pouvoir lui être utile, à lui et à la société.

   Même dans sa manière de parler, on sentait bien qu'il avait de l'ambition et que c'était un malin, lui :

   « C'est pas » marrant, avec toi, on ne peut pas discuter sérieusement ! »

 

   Oh ami lecteur, je n'ai toujours pas compris ce que cet humain du genre « bon genre » entendait par « parler sérieusement ». Mais il me faut bien l'admettre, lui il sait.

 

 

 

 

Même sur leurs propres textes, je suis le seul à rester perplexe devant certains passages

 

   Qu’ils soient athées ou croyants : il y a chez « ceux-là qui se prétendent les seuls et tout en haut tout en haut de la chaîne alimentaire », effectivement, quelque chose qui d'une manière ou d'une autre n'est pas humain.

   Avec beaucoup ici, il faut que tu le saches, tu peux discuter, prendre un café ou un thé à la manière anglaise, et l'art de vivre à l'anglaise c'est vrai ce n'est pas rien.Tu peux converser, faire une partie de jeu de carte dans leur jardin (anglais), t'adapter jouer « les polis comme des galets », tu peux même lire être sérieux très occupé ou ne rien faire, et de manière très agréable (et fair-play) en leur compagnie.

   Mais il faut que tu le saches, exactement les mêmes avec qui tu étais si bien, du jour au lendemain, leur visage change (peut changer) radicalement et leur porte t'est fermée, et l'autre face de ce visage est celui d'une impitoyabilité extrême et irrationnelle.

   Déjà tu les fais bien rire parce que tu n'as pas les moyens pour un bon avocat, ou bien carrément ils veulent te pendre te lapider ou te brûler vif te couper en tranches, ou bien c'est ton choix : t'enfermer dans l'une de leurs cases de leurs boites, où déjà tant de gens sont si bien si fier et si ambitieux d'être encore mieux rangés, t'empêcher de vivre ta vie et te clouer pour l'éternité dans leurs problèmes à eux - problèmes à eux dont ils n'arrivent strictement plus à se passer, et parfois il y a même un bruit de chaine parasitaire, derrière leurs propos.

   C'est comme s'ils voulaient te faire porter leurs chaines. Beaucoup sont comme des fantômes attachés avec des chaines.

 

   Et ce que tu auras fais ou ce que tu n'auras pas fais ne sera qu'un prétexte, le moyen de te culpabiliser et te faire oublier. A la base c'est leur attitude qui est très surprenante, et ferait plutôt penser à de la folie et de la tromperie.

   D'un coup c'est comme des comédiens justiciers qui veulent juste te faire cracher tes dents, et des fantômes malveillants avec leurs chaines.     

   Le pire est que, « si je ne fais pas gaffe », je peux finir comme eux.

 

   Un philosophe grec peut discuter avec un bouddhiste indien et je peux également discuter avec certains bouddhistes chinois ou avec des taoïstes ou avec bien d'autres.

 

   La caractéristique avec « ceux-là qui se prétendent les seuls et tout en haut tout en haut de la chaîne alimentaire », et pas seulement ceux qui gagnent leur pâtée avec (les textes de) la loi, et autres justiciers, c'est qu'ils ne se posent aucune question même sur leurs propres textes, je suis le seul à rester perplexe devant certains passages.

 

 

 

Demain ils peuvent te couper en tranches

 

   Tu peux avoir des amis chez « ceux-là qui se prétendent les seuls et tout en haut tout en haut de la chaîne alimentaire », mais il faut que tu le saches, même tes meilleurs amis parmi eux, demain ils peuvent te couper en tranches et tu ne sauras jamais pourquoi.

   Jamais même avec tes meilleurs amis parmi eux, il ne faut baisser ta garde.

   Jamais, même avec tes meilleurs amis parmi eux, il ne faut accorder ta confiance ou croire à la moindre empathie de leur part.

   Demain ils peuvent te couper en tranches, et vraiment tu ne sauras jamais le pourquoi.

   Il y a effectivement chez « ceux-là qui se prétendent les seuls et tout en haut de la chaîne alimentaire » quelque-chose qui d'une manière ou d'une autre, n'est pas humain.

 

   Le plus incroyable est que ce qui pourrait éventuellement rester d'humain chez ces gens-là, est la partie dont il faut encore plus se méfier se défier.

   Il ne faut rien croire chez et de quelqu'un d’entre eux, même s'il n'est pas fanatique.

   Ils ne se posent pas de question, comme on fait d'habitude chez les philosophes grecs ou chez les bouddhistes ou chez les indouistes qui ne sont pas fanatiques ou chez les taoïstes ou comme en fait, on fait normalement chez les humains, et même si je ne sais pas trop moi-même ce que ça veut dire « normalement ».

   Yes : il y a vraiment quelque-chose qui d'une manière ou d'une autre n'est pas humain chez ces gens-là, et il faut presque se méfier encore plus, d'une manière ou d'une autre de la part d'eux qui resterait humaine.

 

 

   Pour résumer, quelqu'un qui a ce genre de croyance, et qu’il n’est même pas utile dans sa vie de tuer le père symboliquement ou de couper le cordon ombilical comme on dit, et que c’est un autre ou d’autres qui vont même se charger du travail et du risque que cela peut représenter :  à 9 sur 10, il peut y avoir quelque chose d’étrange et d’incohérent.

 

   Et pour le dixième restant, je dirais qu'il y a effectivement « quelque-chose qui d'une manière ou d'une autre » n'est pas humain ou au minimum : « quelque-chose qui d'une manière ou d'une autre » est absolument incompréhensible pour mon esprit humain.

   « C'est pas des blagues. »

 

 

 

 

Au-delà de cent ou deux cents personnes, déjà je ne sais plus très bien de quoi on parle

 

 

   J’ai un voisin style « un loubard, et un flic », ainsi que décrit dans la chanson de Renaud intitulée « Dans mon HLM » (lien).

   L’autre jour, il m’a sorti comme ça, je ne sais pas du tout ce qui lui a pris :

   « C'est curieux on dirait que par ici, tu es le seul avec qui on peut vraiment discuter : c'est curieux ! »

 

   Du coup je me suis dit qu'il y avait là du vrai, mais pourquoi et en quoi, difficile de cerner : déjà que je me pose trop de questions, mais bon.

   Je suis un gars relativement, relativement simple. Et en fait, je n’ai même pas trop trop peur de moi-même on peut dire.

   Et il est bien que je sache cela de moi-même et que j’en prenne bien conscience.

   Donc on va dire à priori, je peux même être un peu beauf par moments, et il est bon aussi que j’en prenne bien conscience.

   Rien que sur cette planète, il y a des centaines de gens qui sont beaucoup plus costauds que moi sur bien des plans. Et si je dis des centaines, c’est juste qu’au-delà de cent ou deux cents personnes, déjà, je ne sais plus très bien de quoi on parle – ce qui rejoint l’hypothèse du nombre de Dunbar (lien).

 

   Et pourtant, parfois, il m’arrive de rejoindre le point de vue de celui qui m’a dit ça, en fait.

   C’est curieux.

 

   C'est de mon niveau :

 

   Il y a des challenges qui sont de mon niveau, et il faut que je le sache, et il faut que je m'estime tel. Il faut d'abord poser ici l'hypothèse la constatation que c'est de mon niveau, et une fois cette considération et cette conscience de moi-même bien établie : alors il me faut admettre aussi qu'il y a des challenges qui ne sont pas de mon niveau, et je n'essaye même pas.

   Je dois trouver le souffle tranquille et l'envie d'avoir envie, un ressort un cadre, et même moi parfois j'ai besoin d'un cadre, qui soit de mon niveau pour y rentrer déjà.

   Et puis surtout qui soit de mon niveau pour en sortir de temps en temps de ce cadre, prendre du recul, et même pouvoir en ressortir.

 

   Et c'est pas si facile.

 

   Alors en attendant :

   « J'marche tout seul le long d'la ligne de ch'min d'fer / Dans ma tête y'a pas d'affaire / J'donne des coups d'pieds dans une p'tite boîte en fer / Dans ma tête y'a rien à faire »

                                   (Alain Souchon dans sa chanson « Allô maman bobo (lien) ») 

 

 

 

tulips

 

Tulips - de Pixabay (lien)

 

 

 

 

Mais pas chez eux plus chez eux

 

 

   Il y en a, tu leur parles gentiment, en fait le lendemain ils peuvent te couper en tranches, et même qu'en fait tu ne sauras jamais pourquoi.

   Chez les humains, on peut même se faire la guerre se poser des lapins et des pièges, être un jour le meilleur en haut de l'affiche et puis demain être down, avoir le blues que même c'est des mains noires qui lui ont donné le jour, être ennemis pas du même côté, flic et à l'inverse délinquant, d'armées ennemis, et s'estimer se parler au moins parfois vraiment apprécier les autres discuter : mais pas chez eux plus chez eux, « ceux-là qui se prétendent les seuls et tout en haut de la chaîne alimentaire ».

   « C'est pas » des blagues : il n'y a pas il n'y a plus ça chez eux.

 

Alors on y croit on y croit

 

   Le moindre prétexte peut leur être bon, et pour cela ils peuvent se révéler très procéduriers : déjà pour un mot qui est différent ou un autre mot qui est juste avancé pour poser un début d'explication ou d'hypothèse, tu peux finir lapidé. flingué, crucifié ou avoir la tête tranchée, et vraiment, vraiment, il te sera impossible de savoir pourquoi.

 

   Et même tes meilleurs amis parmi tes amis, d'office c'est mauvais signe bien sûr et tu peux être sûr que dans toutes tes discutions avec eux et si tu remarques bien : il y aura bien 15 mn dans une conversation d'absolument glacial, où tu te rends compte d'un coup que ton ami c’est juste un « Bernique la fourmi », ce n'est même pas qu'il te méprise, c'est juste que pour lui tu n'es même pas une bête, en plus que pour lui, il est le seul à pouvoir faire partie de cette humanité qui serait le centre des préoccupations de l'univers, et il le croit vraiment « on y croit on y croit », que son humanité est au sommet du sommet de la chaîne alimentaire et que c’est toi qui va avancer la monnaie pour l’éternité.

   Et c'est pour ton bien, comme ils sont souvent prêts à le dire ici. 

 

   Il faut que les idées circulent. Il faut que l'argent respire. Ne pas trop s'attacher, ni aux flingues, ni au milieu. Et surtout si le cadre est bien, il faut aussi pouvoir en sortir et surtout en ressortir, il faut un genre de respiration et pas que du blues, d'accord : 2 tiers positif, 1 tiers négatif.

   Alors dire ça des braves gens et surtout des amis, ça fait un peu provoc et excessif.

   C'est pour ça. Enfin bon : peut-être.

 

   C'est pour ton bien, comme ils sont souvent prêts à le dire ici.

   C'est chacun qui voit, c'est toi qui voit.

 

 

 

Et pour ce qui est des nuances de gris

 

   Ne nous enlève pas nos illusions qu'ils me disent même ces bons amis. Pour eux ils constituent la seule vraie humanité, les bêtes le reste du vivant ne compterait pas et pour eux toujours : en y regardant bien, question la réelle estime la réelle empathie qu’ils ont de moi, je ne suis pas sûr que ces mots soient approipriés.

    C'est la seule chose importante qui résoudrait tous les problèmes, pour eux « il y en aurait  qui doivent se sacrifier pour la société et d’ailleurs même que ça a toujours été comme ça, c’est comme ça que ça fonctionne », et en me parlant de toutes leurs longues histoires bizarres de sacrifices (humains ou pas), style « Don’t be a Scud, be a Patriot (lien) ! » mais que ça ce genre de programmation hypnotique pour aider et se sacrifier, mais pour qui et pour quoi, et j’en passe : ils me regardent avec insistance.

 

   En fait, il n'y a que ça dans leur démarche, dans leur vision de quelque stratégie ou tactique, sur un jeu de plateau ou dans la vie, c'est le seul moyen qu'ils ont d'être des petits gars sérieux et des petites nanas très très sérieuses, qui ne perdent jamais la face, ça « c'est tout eux tout craché c'est pas moi », et en plus ils voudraient bien que je le répète avec eux : « on y croit, on y croit ».

   En considérant également 15-30 mn, ça me fait vraiment penser à la caricature de la caricature de l’Afrique, mais ce sont des européens qui me parlent comme ça, et parfois de la famille comme on dit. 

 

   Après je me dis que je me fais des idées, que leur manière de voir : je l’interprète mal.

   Après je me dis et ayant considéré ces choses-là, pour moi ça n’existe pas plus qu’avant, d’une certaine façon.

   « Des casse-pieds et des grands casse-pieds, et leurs histoires de casse-pieds et de grands-casse-pieds, il faut se méfier ! » : ainsi parlerait Yoda (lien) et là aussi je le rejoints totalement.

 

   D’après ce que j’ai cru en comprendre », pour dire comment je me prends au sérieux, il y a du vrai dans les mythes de Yoda et ceux des anciens dieux et bien d’autres choses aussi, mais vite dit, vite fait :

   ... je sais qu’il n’est pas dans les capacités non plus de mon esprit humain, de comprendre.

 

   Je ne suis pas cynique.

  

 

bird and flowers

 

bird and flowers - de Pixabay (lien)

 

 

 

 

Les cochons « c'est pas eux » and so on

 

 

   Je ne juge même pas ceci ou cela, je ne veux pas me mêler de toutes leurs histoires qui ne me concernent pas, je ne cherche pas les embrouilles.

    En fait « c'est pas mon problème » leurs histoires qu'ils et elles ne résoudront jamais, et pas seulement qu'ils n'arriveront jamais à tuer le père symboliquement et à couper le cordon ombilical comme on dit.

   C'est juste que d'emblée comme ça je peux leur dire maintenant : ça n'en finira jamais. C'est juste que parfois ils me parlent de choses incompréhensibles, ou que des histoires de casse-pieds et de grands casse-pieds, ça ne m'intéresse pas du tout.

   Parfois cela rejoint le film « Shinning » (lien), ils n’écrivent pas comme l’écrivain déjanté de ce film exactement toujours la même phrase pendant des heures et sur des pages A4 et des pages A4, mais ils parlent de toujours le même tir au but par les mêmes joueurs, ou bien qu’ils ont tout vu et compris le monde à savoir qu’ils ont déjà goûté à toutes les cuisines de ce monde quand-même. Ils savent les bonnes choses eux, et ils te racontent toujours la même histoire de deux lignes avec des variantes sans intérêt de plus, comment les gens sont paresseux inutiles mais qu’il faut bien les occuper les jardiniers les employés tous ces gens qui n’ont même pas de vrai métier (et dans ce genre de propos les miséreux encore plus impitoyables envers ceux qu’ils croient d’une misère plus grande).

   Mais attention, le « petit monsieur » qui se répète, « c’est pas eux et pas elles », and so on.

   Et en fait et regardant bien, souvent chez eux rien d'autre.

 

   Quand on regarde bien, c'est également étrange leur obsession des sans-dents qu'ils veulent enlever leurs dents à tout le monde que tout le monde doit être désarmé et aidé et qu'il faut juste penser à aider tout le monde, la planète, les autres, tout le monde serait malade ou aurait besoin d'aide de leur aide.

   On dirait qu'ils sont restés bloqués dans le temps, ils parlent comme des fantômes avec leurs chaines, à un moment ils ont dû hurler, appeler à l'aide, il y a une rayure sur le disque vinyl qui continue de tourner : d'un coup c'est comme des comédiens justiciers qui veulent juste te faire cracher tes dents, et des fantômes malveillants avec leurs chaines.

 

   Depuis très longtemps, ils cherchent « à qui la faute », le moindre prétexte pour remuer leurs chaines et il faut que tu le saches : ils ne sont pas bienveillants.

  

   C'est également étrange que par ailleurs, pour eux : les sans-dents c’est les autres ou des délinquants qu’il faut transformer en sans-dents.

   Et ils n'arrêtent de dire que les cochons « c'est pas eux » c'est lui, celui qui va résoudre tous leurs problèmes, et que même : c'est eux qui ont inventé le bonheur et « c'est pas eux » qu'il faut peser sur la balance.

   Peser le cochon ou le bœuf, enlever le bœuf, de toute façon, « c'est pas eux » monsieur.

   En particulier, certains blancs qui écoutent « radio big-ben » ou d'autres « preuves de la civilisation avancée » :  on leur devrait, quand-même, plus de respect, c'est leur dû c'est qu'ils et elles le valent bien. Et ils et elles te regardent en coin de nouveau : il y en a qui se sacrifient, il faudrait qu'il y en ait qui se sacrifient ça a toujours marché, fonctionné comme ça, mais de quoi ça parle ces truc-là ?

 

 

 

 

J'irai jeter des fleurs jaunes à l'endroit où      

 

 

   « Ceux-là qui se prétendent les seuls et tout en haut de la chaîne alimentaire », ils disent qu'ils ont de la chance qu'ils ont même inventé le bonheur, en fait on dirait qu'ils n'ont jamais fait un travail sur eux-mêmes ni même seulement tué le père symboliquement ni coupé le cordon ombilical comme on dit, et d'eux pas la moindre envie de ce genre d'effort et de risque : je me répète mais cela en vaut la peine.

   Ce serait à toi de résoudre tous les problèmes tous leurs problèmes, tout, tu vas faire pour eux, les cochons les anges « c'est pas eux » and so on.

   Et pour conclure, chez eux rien d'autre, et demain chez eux, il n'y aura rien non plus.

 

   Mais toutes ces considérations sont bien humaines, trop humaines (lien), il y a bien d'autres intelligences pour considérer tout ça d'une autre manière, et que c'est peut-être bien vu aussi.

   Rien que sur cette planète, déjà : « Des pies (Corvidae) ont été observées en train d'« enterrer » leurs morts sous des brindilles, quand les corbeaux (Corvus brachyrhynchos) auraient tendance à croasser bruyamment et en cœur lors de la disparition de l'un des leurs. » (Géo.fr  (lien))

 

 

   Oh moi, pour tout te dire :

   ... si le regret de « quelqu'une que j'aime et ne retrouverai jamais », j'avais, à la manière parait-il des anciens Néandertaliens (lien), et à l'endroit où cette « quelqu’une » se trouve maintenant : j'irai jeter des fleurs jaunes,       

   Oui, si j'avais.

 

   C’est pour dire mon « degré de civilisation », comme ils et elles disent.

   Et dans le même temps, beaucoup, beaucoup parmi eux ne peuvent pas du tout croire cette évidence :

   « Ils ne peuvent pas croire que la science des véhicules spatiaux parmi les étoiles, et la science de s'adonner au rêve et à la contemplation, cela se rejoint forcément. » (lien)

 

 

 

                                              Odal GOLD

 

                                                                          www.odalgold.com

 

 

 

 



23/08/2023
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