Salauds de pauvres pourquoi tu mets un point d'interro ?

Sometimes it makes non-sens.

Parfois il fait se battre, parfois il faut fuir, parfois il faut refuser de s'adapter juste comme ça.

Il y a toutes sortes de pauvres et de miséreux, des gens qui sont quelqu'un et des gens qui sont personne.

Le reste je ne sais pas.

Ceux qui donnent des conseils, parfois ils payent aussi.

Le reste je ne sais pas.

🤔

Souvent surtout je ne veux pas savoir.

Only human, et j'ai tendance à abuser comme tous les autres.

Je ne veux pas trop savoir.

Pour moi ça s'arrête là.

🤔🌞

Un peu d'oxygène : des fois, c'est déjà ça. 

C'est la vérité, comme il y en a qui disent.

Le fric c'est chic, oh yes.

👍😃

Le fric et le pouvoir, et la sérénité surtout.

Be happy, do'nt worry !

« Salauds de pauvres ! » (ou « salauds d'pauvres ! ») est une invective lancée par le personnage de Grangil incarné par l'acteur Jean Gabin dans le film de Claude Autant-Lara « La Traversée de Paris », sorti en 1956 et adapté d'une nouvelle de Marcel Aymé, publiée dans le recueil Le Vin de Paris, où se retrouve cette réplique. » Wikipédia (lien)

Ils et elles voient déjà le paradis leur paradis au bout de leurs lynchages, de leur brutalité 

La devise des anciens hussards est peut-être : « recte faciendo meninem timea = ne craignez personne en faisant ce qu'il faut ».

Moi, tout ce que j’en sais de tout ça, et en imaginant que j’en sais quelque chose de tout ça, et même que je n’aurai pas y mettre un point d’interrogation.

Moi, de tout ce que j’en sais de tout ça : les « sans-dents » (lien) ne pensent qu’à leur peur et à leur argent, et ça fait longtemps qu’ils ont donné leur âme pour ne plus avoir plus peur de rien.

Et leur vision du monde qu’ils ont ainsi s’arrête là. Et demain pas mieux.    

money-gun-business-contrats - de Pixabay (lien)

Et ils en redemandent, comme la foule ils ne comprennent que ce qui leur parait le plus fort et le plus méchant et ils veulent juste être de ce bon côté comme ils disent du côté du bien comme ils et elles disent.

Ils voient déjà le paradis leur paradis au bout de leurs lynchages, de leur brutalité qu’ils et elles ont du caractère comme ça c’est la preuve, et leur haine des imbéciles.

Et il ne faudrait même pas leur enlever leurs illusions.

Salauds de pauvres.

Pas pire que les miséreux entre eux. Salauds de pauvres.

Je ne sais pas si je peux dire ça comme Jean Gabin dans le film « La traversée de Paris » (extrait), parce que je le sais bien que ce n’est pas donné à tout le monde dans la manière.

Salauds de pauvres ! Salauds de pauvres !  

Je ne sais pas si je peux dire ça comme Jean Gabin. Et la seule préoccupation des pauvres et surtout entre eux : c’est qui le plus fort, maintenant, hein ?

Salauds de pauvres !

Ils et elles n'y comprennent rien et ils et elles s’en fichent complétement de tout ce qu’on peut leur dire et ils et elles sont tellement vicieux, que tout ce qui leur ferait peur : c’est l’excès de vice. Parce qu’ils le savent bien et ils le confirment, d'en être bien conscients, que l’excès de vice ça peut tuer le vice.

Salauds de pauvres !

Même que si ça leur fait peur comme ça, j’avoue qu’en les regardant bien, ce n’est même pas de la peur qui me vient, mais juste de l’effroi, quelque-chose de potentiellement effroyable et d’incompréhensible, dont en plus on n’aurait rien à retirer.

Eux et ils : ça sait. 

Salauds de pauvres. Rien à retirer d’eux, en fait.

Salauds de pauvres !

Peut-être que tout le monde ne peut pas le dire comme Jean Gabin, dans le ton et les nuances pas trop – et même pas du tout.

C'est exactement ça, comme dans le film avec Jean Gabin dans « La traversée de Paris - salauds de pauvres - morceau choisi » : extrait

Et en plus, lui Jean Gabin, il peut le dire comme ça !

🤔   

killer -To be or not to be est aussi mon mantra - de Pixabay (lien)

Le sujet du jour serait de savoir pour commencer :

qu’est-ce qu'être un homme, qu'est-ce qu'être une femme, et même seulement déjà de ce genre simple humanoïde simple de cette planète dimension.

🤔

Et ensuite

Et ensuite !

🤔🤔🤔

Salauds de pauvres !

Et en plus, lui, Jean Gabin, il peut le dire comme ça !

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