Quand il faut perdre, Quand il faut gagner

   

 

     Quand il faut perdre, Quand il faut gagner, Heureusement il y en a qui savent !

 

 

 

     Apparemment, les grecs antiques, tels qu'on nous les décrit, ne voyaient pas de différence entre le bleu et le brun, entre la couleur bleue et la couleur brune. 

 

     Mais cela est-il vraiment possible, cela est-il vraiment seulement croyable ? 

 

 

     « À quel point les Grecs voyaient autrement que nous leur nature, s’il leur manquait, comme il faut l’admettre, le sens du bleu et du vert, et qu’en place du premier, ils voyaient un brun plus profond, et du second, un jaune (s’ils désignaient par exemple du même terme la couleur des cheveux foncés, celle du bleuet et celle des mers méridionales, avec le même terme encore la couleur des plantes les plus vertes et de la peau humaine, du miel, et celle de la résine jaune – si bien que leurs plus grands peintres n’ont rendu leur monde qu’avec le noir, le blanc, le rouge et le jaune) ; combien la nature devait leur sembler différente et beaucoup plus proche de l’homme, du fait qu’à leurs yeux les couleurs de l’homme étaient également prévalentes dans la nature et que celle-ci baignait en quelque sorte dans l’éther chromatique de l’humanité » 

 

     ... telle est la réflexion de Friedrich Nietzsche dans l’aphorisme 426 d’Aurore, sur l’étrangeté chromatique des Grecs de l’Antiquité.

                                                                                   (Référence : lien)

 

      Qu'est-ce que je me méfie de ces Anciens Grecs, qui prétendaient avoir tout inventé, et autres fiers-à-bras et veules. Je crois on n'a pas fait pire comme Dupont-Lajoie que ces Grecs Antiques.

                                                                                                         (Réflexion personnelle)

 

      

      Entre les bleus et les bruns, et les shérifs de Not-in-Game (lien), qui va gagner, qui doit gagner, de quelles couleurs de quel camp, il faut choisir ? 

      Pourquoi tu mets un point d'interro ?  

 

     Où la symbolique, où le réel qui me dépasse ?

 

 

 

     Quand il faut perdre,

     Quand il faut gagner,

 

Hache viking 

Hache

 

 

     Heureusement il y en a qui savent !

     Quand il faut la couleur brune,

     Quand il faut la couleur bleue,

     Heureusement il y en a qui savent !

     Et des « Dupont Lajoie Grecs Antiques » qui disent que le bleu et le marron le brun, c’est la même couleur, en veux-tu en voilà !

 

     Quand, aussi :

     Quand il faut le Blues,

     Quand il faut le Soleil au Zénith,

     Heureusement que souvent c’est juste la vie, c’est la vie, comme on dit !

     Le reste je ne sais pas.

 

 

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Rune Stone

 

 

     Et ça ira, ça ira...  

 

     J'aime les gens, et puis les petits chats.  

 

     Et si tu veux je te passe même mon Shlass mon briquet mon l'âme mon gun mon pistolet mon épée quoi et ma H, mon Yoga et mon sens, mon double sens et même mon double tranchant et même sur nos différences, ma plume mon cachet mon identité, oh mon amie ma doulce amie, car c'est toi aussi qui décide. 

 

     Gentiment.    [*]

 

                                                                               Odal GOLD

 

 

PS:

  

    Peut-être une explication une hypothèse sur cette étrangeté chromatique des Grecs de l’Antiquité :

 

     « William Gladstone (1809-1898), illustre homérisant et homme politique anglais, fut l’un des premiers à insister sur l’impression lumineuse des couleurs grecques. Aux siècles précédents, certains ayant en effet remarqué les mêmes bizarreries linguistiques dans la définition des couleurs chez d’autres peuples et jusque dans la Bible, un fervent débat académique avait éclaté sur la possibilité que les Anciens aient pu avoir une capacité physiologique de perception – au niveau de la rétine elle-même – inférieure à nos yeux, au point que l’on parlait de la cécité des Grecs.

     Les théories de Darwin d’abord, et les études de physiologie et de médecine ensuite, démontrèrent irréfutablement le contraire : les Grecs voyaient la mer, les champs, le ciel, les paysages de la même couleur que nous les voyons aujourd’hui – ou peut-être d’une couleur plus belle encore, parce qu’ils ressentaient le besoin de l’exprimer d’une autre manière, une manière personnelle.

     En définitive, les Grecs de l’Antiquité donnaient à chaque couleur une autre signification, un sens de luminosité, de gradation de clarté. Ils voyaient la lumière et ils en coloraient l’intensité : ainsi, le ciel est d’airain, vaste et étoilé, jamais simplement bleu, et les yeux sont glauques, scintillants, jamais simplement azur ou gris. »  

 

                                                                                          laviedesclassiques.fr (lien)

 

 

      Peut-être.

 

 

 

 

 

 



13/05/2021
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