Les « banksters » et la Dette Publique
En France, la productivité du travail a été multipliée par cinq en 30 ans.
D'après les chiffres officiels, la France serait le 3ème pays où il y aurait le plus de millionnaires (possédant au moins un million d'euros), après les USA et le Japon. En France, il y aurait 2,3 millions de millionnaires. 10 % des gens appartiendraient à une famille de millionnaires.
A savoir qu'au USA, 98% des millionnaires sont eux-mêmes fils de millionnaires (même au pays qui l'inventa, le « self made man » est un mythe infondé).
Dans les années 70, 60 % du Produit Intérieur Brut allait au monde du travail et 40 % allait au monde du capital. Depuis la tendance s'est exactement inversée, plus de 60 % du PIB va au capital et moins de 40 % va au monde du travail.
Sur un salaire moyen de 1500 Euros, la moitié passe en TVA, impôts, taxes diverses, dette publique, etc.
Cela pourrait tout à fait se comprendre si cet argent revenait et profitait même indirectement (Santé, Justice, Retraites, Éducation) mais cela n'est plus du tout le cas.
Déjà, un salarié qui gagne 1500 Euros par mois travaille une semaine par mois (un quart de sa vie) pour le remboursement de la dette publique.
La dette publique date de 1973 par une loi signée par Giscard D'Estaing et Pompidou (au service de la banque Rothschild). Avant la France n'avait pas de Dette Publique (quasi-nulle : 50 millions de francs) et elle créait directement la monnaie dont elle avait besoins. Depuis 1974, l'État est donc obligé d'emprunter aux banques privées l'argent dont il a besoin (la dette publique, ce sont finalement les intérêts des intérêts de ces emprunts).
Puis en 1992, la gauche au pouvoir nous invite à ratifier par référendum, les yeux fermés, le traité de Maastricht qui dans son article 104 [lien] confirme et précise cette « décision qui correspond à une privatisation de l'argent et ramène la Nation au même rang que n'importe lequel de ses citoyens. »
En plus, il faut savoir que quand une banque privée prête soi-disant de l'argent [avec intérêts] à l'État, elle ne possède même pas cet argent : c'est la créance qui crée la masse monétaire (purement virtuelle) qui est prêtée.
Aujourd'hui, la dette publique est devenue une affaire très rentable.
Nous payons les intérêts des intérêts à des « banksters » (banques privées infiniment puissantes, mafias, banque du Vatican, actionnaires et multinationales très discrets, etc.) ou à des entités que nous ne connaissons même pas....
Voir lien >>> http://www.bankster.tv/videos.htm
It's just an illusion
« Depuis 30 ans, la National Endowment for Democracy (NED) sous-traite la partie légale des opérations illégales de la CIA. Sans éveiller de soupçons, elle a mis en place le plus vaste réseau de corruption du monde, achetant syndicats ouvriers et patronaux, partis politiques de gauche et de droite, pour qu'ils défendent les intérêts des États-Unis au lieu de ceux de leurs membres. » [1]
La stratégie trotskiste
(…) « Au cours de sa phase de mise en place (1984), la NED a été présidée par Allen Weinstein, puis durant quatre ans par John Richardson (1984-88), enfin par Carl Gershman (depuis 1998).
Ces trois hommes ont trois points communs. Ils sont juifs, ont milité au sein du parti trotskiste Social Democrats USA, et ont travaillé à la Freedom House. Il y a une logique à cela : par haine du stalinisme, certains trotskistes ont rejoint la CIA pour lutter contre les Soviétiques. Ils ont apporté avec eux la théorie de la prise de pouvoir mondiale, en la transposant aux « révolutions colorées » et à la « démocratisation ». Ils ont simplement déplacé la vulgate trotskiste en l'appliquant au combat culturel analysé par Antonio Gramsci : le pouvoir s'exerce dans les esprits plus que par la force. Pour gouverner les masses, une élite doit d'abord leur inculquer une idéologie qui programme leur acceptation du pouvoir qui les domine. » [1]
Aujourd'hui officiellement l'esclavage n'existe plus, on a remplacé ça par le salariat.
C'est possible aussi avec des trotskistes révolutionnaires, pour ne prendre qu'eux (parmi tous les autres) comme antichambre parallèle du pouvoir - dont l'obsession véritable de ses dirigeants peut se deviner sans limite, jalouse, méchante, façon biblique.
(And the Show and the Showbiz must go on.)
Odal GOLD
[1] sur http://www.voltairenet.org/fr
>>> http://www.voltairenet.org/article166549.html
PS :
Savoir qu'un serf moyen (pardon, un citoyen moyen) perd une semaine par mois de sa vie au service des « banksters » – et cela à cause d'un jeu d'écriture simple comme un coup de fouet – me semble au minimum fascinant à considérer.
Aucun grand groupe politique ne parle, l'omerta profite au système, ils en font partie.
C'est sûr qu'on y peut rien, à cette dette publique (si tenté que l'on veuille y changer quoi que ce soit, d'accord d'accord), à cette taille et à cette gabelle « new age » !?
Mais c'est comme de savoir que la Terre tourne autour du Soleil : c'est une réalité que l'intelligence, il me semble, aime à prendre en compte…