«  Le Prisonnier (The Prisoner) est une série télévisée britannique en dix-sept épisodes de 52 minutes, créée par l'écrivain et ancien agent des services secrets George Markstein et Patrick McGoohan, acteur principal, scénariste et producteur délégué de la série. En version originale, elle a d'abord été diffusée au Canada à partir du 5 septembre 1967. » (Wikipédia) (lien)

Ballon comme le ballon dans la série « Le prisonnier » (1967) 

Et toujours il y a un ou plusieurs énormes ballons blancs qui le rattrapent

« Alors qu'il fait ses valises pour quitter la ville, un gaz anesthésiant est diffusé par la serrure de son appartement. À son réveil, il se trouve séquestré dans un lieu étrange, le « Village » dont les habitants (anciens espions et activistes) obéissent à un comportement moutonnier et semblent accepter leur sort d'internés. Un badge numéroté sur la poitrine identifie ces habitants. L'homme est désormais le « Numéro 6 ». Ce lieu de villégiature pittoresque mais aseptisé est dirigé par le « Numéro 2 » qui veut soutirer à « Numéro 6 » des renseignements sur les raisons de sa démission. Ce dernier refuse de porter le badge qui indique son numéro, de donner les raisons de sa démission, etc. » (lien) (Wikipédia) 

Et c'est qui le « numéro 1 », maintenant, hein, c'est qui ? 

Là, il y a toujours un « numéro 2 » qui fait appeler les autres par d'autres numéros et qui leur demande toujours les mêmes choses : « pourquoi avez-vous démissionné ? Nous voulons des renseignements, nous voulons des renseignements ! »

Et chaque fois que le prisonnier (le «  numéro 6 ») de cette île si cosy veut s'évader, il y a un ou plusieurs énormes ballons blancs qui le rattrapent pour le ramener dans l'île.

Mais qui est ce « numéro 2 » et que veut-il exactement ?

En feuilletant au hasard des livres dans une brocante, je suis tombé sur certains d'où cette série télévisée a été tiré. J'y apprenais que le « numéro 1 » était un robot extraterrestre chargé de reconstituer son propre monde.

Il s'agirait que des milliards d'êtres humains n'arrivent jamais à quelque maturité que ce soit. Il s'agirait qu'ils s’adaptent complétement à la volonté du robot extraterrestre le « numéro 1 ». 

Ce n'est qu’une hypothèse de science-fiction, d'accord.

Et pourquoi pas. 

C'est de la bonne science-fiction.

Si vous le permettez, oh ami lecteur, oh amie lectrice !

Si vous le permettez, oh ami lecteur, oh amie lectrice, mon point de vue est qu’il y a donc cette première hypothèse extraterrestre où il s'agirait que des milliards d'êtres humains n'arrivent jamais à quelque maturité que ce soit. 

Le gouvernement australien a annoncé l’achat de quinze robots tueurs, les « Felixers », pour éliminer six millions de chats errants qui ont envahi le pays et provoqué la disparition de plus d’une centaine d’espèces. (philomag.com) 

Et si vous le permettez, oh ami lecteur, oh amie lectrice, ma deuxième hypothèse est là que les humains se prennent ou vont se prendre comme un boomerang mystique de vouloir s'arroger les titres d'altesse et de juge du monde et de la nature. 

Et certes le reste de la nature n’est pas forcément meilleur que les humanoïdes associés du coin, et pas que ceux de « Métal Hurlant » (lien).

Et certes le reste de la nature a peut-être envie parfois comme une envie de bouffer les humanoïdes associés et les humains du coin, ce qui fait que des milliards d'êtres humains n'arrivent jamais à quelque maturité que ce soit.  

Et je ne peux même pas dire que je ne comprends pas. 

Ce n'est qu’une hypothèse de science-fiction, d'accord.

Mais c'est de la bonne science-fiction du genre que j'en comprend tout de suite la possibilité, d'une manière fluide. 

Si vous le permettez, oh ami lecteur, oh amie lectrice, mon point de vue est là les humains se prennent ou vont se prendre encore une fois, dans cette histoire australienne, comme un boomerang mystique : de vouloir s'arroger les titres d'altesse et de juge du monde et de la nature.

Mais ce serait là des superstitions d'aborigène ou bien ma propre superstition perso de perso.

C'est juste que c'est une possibilité et c'est une évidence que c'est une possibilité. 

Parfois, il y a de ces intuitions d’artiste, qui peut dire.

Et qu’ils n’en retirent rien et que ce n’est pas pour rien 

Après il y a le pourquoi du comment, très officiellement, la moitié des occidentaux ne peuvent juste voir le ciel que comme un plafond et la Terre étant plate, etc.

Les humanoïdes associés de l’occident ne peuvent simplement pas imaginer avoir quelque prédateur naturel, ils sont bien trop civilisés pour cela – et ils le croient vraiment.

Et ils le croient vraiment, c’est sidérant. 

Il faut comprendre, il faut comprendre.

C’est simple : les humanoïdes associés de cette planète-dimension croient durs comme fer être l’essentiel des préoccupations du monde et de tout.

Et ils le croient aussi vraiment, c’est sidérant. 

Comment est-ce seulement possible ?

L’une de leurs lectures favorites a pour titre : « Comment cuisiner l’humain. ».

Je ne lis pas les mêmes choses qu’eux, que ce soit à la ville ou à la campagne ou dans une médiathèque, et eux, ils y voient d’autres mots.

L’explication serait que cela doit être une question de lunettes et je ne dois pas porter mes lunettes de la même manière qu’eux.

Ou alors ce sont mes lunettes qui sont trop low-cost.

Ou alors au contraire, mes lunettes et même celles pour le soleil, ne seraient pas assez pas assez bling-bling. 

Heureusement qu’il y a qui savent et forcément ils savent la manière simple de voir derrière les télescopes et les lunettes. 

Et ils le croient là aussi vraiment, c’est sidérant.

Il faut aussi le savoir : beaucoup plus que la moitié des occidentaux ne peuvent simplement pas comprendre cette phrase de Rabelais : « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme ».

Et même, que si tu continues encore avec tes niaiseries, tu vas commencer à leur faire peur et même que tu as tord et que c'est toi qui est probablement un dangereux. 

Et qu'ils vont « appeler les flics », comme ils le font pour n’importe quel chien qui n'est pas tenu en laisse à moins de 100 m. 

C’est sidérant.

Et puis pour finir ils vont te changer ta tête, après ça ira beaucoup mieux tu verras.

Et que d'ailleurs celui qui a peur de tout et qui manque de caractère, « c'est pas » eux évidemment : c'est toi. 

Ainsi sont les humanoïdes exquis de l’occident , et avant que tu commences à éprouver la moindre pitié pour eux : il vaut mieux que tu le saches.  

cat-chaton-(kitten)-barrière - de Pixabay (lien) 

Et aussi Kitten, c'est vraiment étonnant comme : (lien)

Si vous le permettez, oh ami lecteur, oh amie lectrice, mon deuxième point de vue est donc qu’il y a cette hypothèse bien terrestre que « les humanoïdes associés » d'ici, et pas que ceux de la série « Métal Hurlant » (lien), n’arrêtent pas de se prendre des boomerangs mystiques et pas que ça et pas que là que là, et ils n’en retirent rien et ce n’est pas pour rien.

Et même que.

Déjà nous ne t’aimons pas.

Ils sont vicieux, tellement vicieux que

Les petites tortues de mer sont pondues sur la plage. Il y en a peut-être 1 sur 200 qui arrive jusqu'à la mer pour ensuite essayer de vivre sa vie. 

Il y a de la même manière des milliards d'humains qui essayent d'aller ensuite vers la mer pour continuer leur vie. 

Ils sont prédatés avant, bien pires que les tortues de mer. Il y en a quasiment zéro qui arrive à quelque maturité et vivre sa vie plus loin. 

Mais pour « les humanoïdes associés d’ici » (lien), qui sont simples, tellement simples comme il faut : déjà tu as dépassé les bornes, et même que tu ne serais pas comme eux   

Eux papa et maman ils aiment, et jamais ils n’oseraient tuer le père symboliquement ou couper le cordon ombilical avec la mère.

Il n’y a pas d’écho d’eux, mais tout le temps ils font énormément de bruit et aussi comme ça : « papa, papa, et maman, papa, mais où tu es, papa ? »

Et c’est sûr ils sont finis bien avant même d’avoir été prédatés.

Par exemple entendre que des gens veulent se suicider avant d’être abimés, que « des gens voudraient passer leur chemin avant d’être abimés » : cette expression leur est complétement incompréhensible.

C’est comme ça.

D’ailleurs c’est simple il y a des professionnels et éventuellement des délinquants de la pensée des anges des saints et autres cloches qui vont à Rome qui sont là pour ça et il faut juste leur faire confiance.

Ils sont simples comme ça, les braves gens.

Et toi tu es beaucoup trop compliqué.

Et d’eux demain : rien d’autre.

Parfois ils et elles le disent carrément : « ils sont vicieux, tellement vicieux que tout ce qui leur fait peur, c’est l’excès de vice, parce qu’ils le savent bien, eux, que l’excès de vice ça peut tuer le vice. Ils ont toujours été comme ça et d'ailleurs le reste ne les intéresse pas du tout.»

Il faut que tu n’aies aucun doute.

Beaucoup sont simples juste comme ça.

Peut-être qu'ils et elles se sont pris des boomerangs mystiques depuis bien longtemps.

Peut-être juste que ce n'est pas chance.

Moi non plus.

Est-ce que c'est bien, est-ce que c'est mal ?

Apriori le monde est bien fait.

A un moment j'ai un réflexe assez anglais de ne pas vouloir voir les choses qu'au premier degré et d'avancer à mon pas. 

En particulier comme dans ce genre de séries anglaises ou il est question de dimensions parallèles, quand je regarde ce genre de séries, je me dis qu'au cas où, il faudrait vraiment que je trouve le temps de reprendre mon souffle et d'avancer à mon pas. 

                                              Odal GOLD

                                                                          www.odalgold.com