Il faut considérer le bon à-priori, et que la mer est belle et unique
Il faut considérer le bon à-priori, et que la mer est belle et unique
1 - Faire le point.
Tracer ma route.
Pas de regret, pas de remord, et le bon à-priori.
Le bon à-priori à considérer.
2 - La mer est belle et unique.
« 1er à-priori : il y a un peu de tout partout.
2ème à-priori : « Salauds de pauvres ! », dixit Jean GABIN (lien)
3ème à-priori : « T'as le bonjour d'Alfred ! »
4ème à-priori : mais vous parlez de quoi ? »
C'est le bon à-priori. »
Ainsi :
Le Dictionnaire du français non conventionnel de Cellard et Rey indique que, pour un chauffeur de taxi ou un serveur, « avoir le bonjour d'Alfred », c'était avoir affaire à un client avare ou mécontent qui ne laisse pas de pourboire
Wiktionary (lien) : « Se dit à quelqu'un à qui on vient de donner une leçon. »
Exemple :
« Des mecs comme ça, ça mérite qu'une chose : que ça barde un jour, et que dans le feu de l'action on lui flanque un pruneau par derrière, comme de juste, et ni vu ni connu, salut Wasselet, t'as le bonjour d'Alfred ! »
Yves Gibeau - La guerre, c'est la guerre - 1961 (lien)
« T'as le bonjour d'Alfred ! »
Il y aussi des chansons de Johnny Hallyday qui parlent d’Alfred, mais bien sûr ça ne vaut pas les définitions sérieuses du « Wiktionary » !
Et Johnny Hallyday c’est un artiste, et donc beaucoup d’intuition et beaucoup d’imagination surtout, et donc un état d’esprit beaucoup trop optimiste, beaucoup trop optimiste.
En plus qu’avec les artistes, tout ce qu’ils disent, et là-dessus tous les savants les gens sérieux sont d’accord : le plus souvent, ça n’existe pas !
C’est le seul inconvénient, parce que sinon souvent leurs chansons sont jolies et si belles, et même que c’est peut-être pour ça déjà que ça n’existe simplement pas !
Et croire par exemple que l’expression « T’as le bonjour d’Alfred » pourrait même finir par porter chance : c’est vraiment être gonflé de gonflé d’optimisme et d’irréalisme.
Il n’y a éventuellement que des artistes, des irréalistes le genre paumé, qui ne réussiront jamais quelque chose dans leur vie, pour y croire à ce genre de sornettes.
Pas des gens biens, et encore moins des gens très très biens.
Surtout quand le gars du même nom que l’expression expliquée par Wiktionary, et c’est sérieux de sérieux Wiktionnary : il te voit pour la première fois à l’autre bout d’une table en bois de chêne et puis.
C’est dans un genre de boite ou de « Pub anglais », où l’on boit des bières avec de la musique et un jeu de fléchettes pas loin et puis.
Et cette première fois qu’il te voit, il t’explique juste ça comme ça : « Je t’ai reconnu tout de suite ! »
Qui peut dire moi non plus.
Un gars vraiment sympathique et qui gagne à être connu, « le Alfred » (lien) que j'ai connu, l’un des rares gars aussi par ici, et même dans ce « Pub anglais » avec sa table en chêne et son jeu de fléchettes typique, avec qui on pouvait discuter et pas que d’ésotérisme.
Et en même temps un gars sérieux : je recommande.
Vraiment.
Pour dire.
Pour dire que ça n’existe pas tout ça, et que c'est que des inventions de farfelus et d’artistes, et que je n’ai même pas juste le début d’un côté « Pierre Richard » (lien) : pour pouvoir seulement imaginer le reste de ce genre de définition du wiktionary.(lien) façon « optimiste de optimiste ».
Façon artiste, que tout le monde il serait beau et que tout le monde il serai gentil, et même les oiseaux dans le ciel et même les écureuils des villes et que même les arbres, quelque part, ils auraient bien le droit eux aussi à un peu d'affection.
Qui peut dire, à part les artistes, et même que déjà ce ne serait pas toujours si facile la vie des Vincent Van Gogh (lien) et et des Tolstoï (lien).
Qui peut dire moi non plus.
Et en avant les histoires !
Avion pas que forcément monoplace
Et en avant les histoires ! - de Pixabay (lien)
J’ai dû lire tout ça quelque part dans la crémerie de M. Google, et j’ai dû lire trop fort je dois me tromper quelque part et en plus j’ai dû mal copier ou recopier.
Demandez à M. Google, de la part d’Alfred, et s’il le veut bien M. Google, il vous répondra.
C’est quelqu’un de très très bien, M. Google.
Je recommande, vraiment.
Ainsi des artistes, et même moi, je ne comprends pas, et même pour moi, c’est vraiment des gens incompréhensibles ces gens là comme sortis d’un monde parallèle de science-fiction, dans cette définition du wiktionary (lien)
Ainsi des titres « genre optimiste de vraiment optimiste », style : « Veau d'or Vaudou » - de Johnny Hallyday (lien)
Ainsi des titres du genre vraiment optimiste : « Le survivant - de Johnny Hallyday » (lien)
Je disais : l’imagination et l’optimisme des artistes.
A bien considérer, je risque même de finir comme « L'homme qui rit » de Victor Hugo (lien) ou comme « le Joker no 2 » le film réalisé par Todd Phillips (Warner Bros) (lien). Je risque bien de finir comme « Le survivant » (lien) de Jonnhy ou comme « Le Dernier des Mohicans » - de James Fenimore Cooper, ou comme le dernier mammouth.
J'ai parfois cette impression persistante d'être aussi une espèce de survivant, là-dedans, exactement décrit comme dans la chanson Johnny Hallyday : « Le survivant » (lien). Et c'est le même point de vue, la même vision, chez Victor Hugo et dans le film de la Warner Bros.
C'est peut-être à force de regarder des films et de m'identifier à ressentir des personnages, que même je n'ai rien à voir, comme un excès d'empathie diraient certains, peut-être.
Et puis d'ailleurs l'empathie avec un grand « E », c'est pas pour tout le monde, c'est pas comme pour ceux qui sont dans le charity-bizness et puis le social.
Eux au moins ils sont dans le réel, c'est pas du tout comme ceux qui vont juste au cinéma, ou comme les artistes dans les films. Ils sont un peu comme les savants, ils savent : dans le charity-bizness et puis le social.
D'ailleurs, dans le charity-bizness et puis le social : ils pourraient expliquer toutes ces différences à tous ces gens qui perdent leur temps à rêvasser à bailler et à dormir sous le soleil exactement, sur les bancs publics et dans les cafés. Ils pourraient l'expliquer en tous cas pour ceux qui sont au niveau, et c'est pas gagné.
D'ailleurs, et il faut y croire, il faut y croire, simplement : un jour ils l'expliqueront complètement à chacun, homme ou femme ou ce qu'on voudra.
Je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi ils font tellement de bruit et pourquoi tant d'agitation chez ces gens là, et pourquoi en plus ils et elles ne supportent pas que certains baillent tranquillement à ne rien faire et à rêvasser en plus : pas du tout comme eux et elles qui sont toujours occupés.
Mais à quoi ?
De toute façon, je ne suis pas un artiste, ni un Pierre Richard (lien), ni un Mozart, ni un Tolstoï (lien), c’est vrai, ou alors c'est que je n'ai pas le niveau pour les explications du charity-bizness et puis le social.
En tous cas, j'aime bien me faire des films comme on dit, c'est la vérité de la vérité, et puis surtout regarder les films de la Warner Bros.
Mais peut-être qu’un jour enfin, comme il y en a ils me disent : je réussirai enfin quelque chose dans ma vie, peut-être, avec beaucoup de chance, un jour.
Et que je finirai même par être utile à la société, comme tous ceux qui sont dans le charity-business, et puis le social.
Bateau Pirate et Mer bleu - Et Noir c'est Noir - de Pixabay (lien)
Et même si c'est du marron pour les grecs, de l'« Arc en Ciel » pour les gens de « par ici ».
Et même si c'est du Bleu pour les professionnels toujours du bon côté.
Et même à devenir, être un artiste professionnel et toujours que dans le bon sens du terme bien sûr, comme dans la vision de ce dernier survivant, comme dans la vision optimiste d'un dernier survivant.
Comme dans la vision, et c’est le même regard la même vision : de Victor Hugo dans « L'homme qui rit » et celle des auteurs du film de la Warner Bros : « Le Joker no 2 ». Et aussi comme dans la chanson de Johnny Hallyday « Le dernier survivant ».
Et chez tous, c'est la même vision optimiste d'un dernier survivant.
Oh yes.
C’est comme ça.
Et certes, ce n’est pas de mon niveau d’affirmer que c’est la réalité, une réalité possible, ou encore que la réalité dépasse ou peut dépasser la science-fiction et même que ce n'est que de « l’optimisme de l’optimisme » des artistes.
Heureusement, il y en a qui savent.
Et tous les savants de « par ici », ils vous le confirmeront, et il n’y a qu’eux pour vraiment savoir, et ils vivent leur passion les savants et ils savent bien et ils le vous le confirmeront tout autant : le temps c’est juste le temps, et éventuellement de l’argent, oh yes !
Et tout le reste, ça n’existe pas.
Et déjà en aucun cas, la vitesse du temps ne peut dépasser la vitesse de la lumière ou bien l'inverse, eux ils savent. Et c'est même que c'est eux qui sont des lumières, et pas du tout tous ces huluberlus (lien) qui ne sont pas des savants.
Ainsi sont-ils, sachant et très raisonnables et même normaux, pas du tout des huluberlus, eux.
Les Einstein qui font des Frankenstein (lien), et les autres savants, avec tous leur passion de savants sérieux qui savent, certes : il faudrait les suivre et de toute façon on ne pourrait pas les comprendre on n'a pas le niveau, il faut juste faire confiance c'est simple pourtant.
Et ce qu’ils veulent, les savants, c’est un choix c’est leur choix comme on dit.
Et il y en a, ils ont essayé c'est leur choix (lien), et même le choix de leurs bons croyants aux savants : « qui savent » et « au nom de ».
Mais bon : ce ne sont que des bruits et des vieilles légendes qui courent.
Et même que si je continue comme ça, je vais finir dans la moraline la plus vulgaire, et même qu'il y a toujours un peut-être entre la terre et le ciel.
C'est comme ça.
Grand bien leur fassent à tous ces savants qui savent, et leurs bons croyants, et leur passion de savants, leur passion de gens très sérieux, très sérieux. Et même qu’eux ils ne sortent jamais des blagounettes (lien) pour rien et qu'on a intérêt à les prendre très très au sérieux, ou sinon.
C'est pas des rigolos, eux.
Et même qu'ils ont encore plus de caractère que tous les autres hommes et toutes les autres femmes, et même leurs bons croyants, c'est leur choix, qu'il ne faut jamais mettre leur parole en doute à tous, c'est eux la vérité de la vérité, et puis voilà.
C'est pas des rigolos, eux.
Et même que tous les habitants de « par ici », qui sont libres, majeurs et vaccinés, leur font évidemment confiance et s’abandonnent à eux en toute confiance, et moi aussi.
Et sinon.
Mais pour le reste : vous parlez de quoi ?
Vous parlez de quoi ?
A un moment j’ai bien essayé de comprendre.
Et paradoxe : c’est que je comprends encore moins qu’avant.
Il me manque peut-être un côté artiste, un côté Pierre Richard (lien) pour comprendre ?
Pour dire que je n’y comprends plus rien.
C'est le bon à-priori.
Oh yes, c’est le bon à-priori.
C'est le bon à-priori.
En aucun cas la réalité ne peut dépasser la fiction.
C’est la vérité de la vérité, et tous les savants si sérieux et en même temps remplis de tant de leurs passions, et les Einstein qui font des Frankenstein (lien), ils pourront vous l’expliquer, et avec des petites fiches et puis des petites fiches, si tenté que vous ayez le niveau.
« C’est pas gagné », il faut le reconnaitre, et en ce qui me concerne, en plus, je suis un peu « teubé » (lien).
J’admets.
Donc.
Une fois qu’on a exposé ce que peut signifier l’expression « T’as le bonjour d’Alfred », je dois ajouter que je n’ai même jamais entendu cette expression dans ma vie personnelle.
Cela veut juste dire, pour un gars relativement, relativement simple comme moi : juste que parfois il faut quand-même faire un peu attention dans sa vie, et déjà avec l’argent, parce qu’un sou est un sou, et qu’il ne faut pas dilapider inutilement et de manière futile et inconsidérée son argent.
Et là, d’une certaine manière je n’ai rien dit tellement c’est une évidence.
C'est le bon à-priori.
C'est le bon à-priori, oh yes !
Et certes la mer est unique est belle
Et certes la mer est unique est belle.
Et certes la mer est belle.
Paper-boat-pirate - de Pixabay (lien)
Et « Noir c’est noir », comme dans la chanson de Johnny Hallyday (lien)
Voilà oh ami lecteur, ce qui m'est venu tout de suite à l'esprit en regardant l'image de cette mer que proposait M. Google sur la toile, et certes : et que même quand le temps est moche, la mer est belle !
Et même que si tu ne lis pas jusqu'au bout, que ça pourrait plaire à M. Google ?
De quel côté la mer, de quel côté la forêt ?
Et certes la mer est unique et belle et par tous temps : ce mot m'a inspiré cette petite composition sur les différentes facettes et caractères que l'on peut voir chez la mer et chez les gens aussi.
Déjà, et il vaut mieux le savoir, beaucoup de gens par ici : cela les perturbe beaucoup, beaucoup : qu'il puisse y avoir plusieurs aspects plusieurs facettes de la mer, et tout autant, qu'il puisse y avoir plusieurs facettes chez les humains.
Et il vaut mieux n'avoir aucun doute sur la simplicité de ces gens-là.
Et ce n’est pas de blagounettes.
Je suis quasiment certain et ce n'est pas une blagounettes, que beaucoup de gens ont déjà pensé à établir une loi et des règlements pour obliger la mer à se décider une bonne fois pour toute, pour qu'elle s'adapte enfin et qu’elle devienne rassurante et utile pour tous.
Réellement, je pense qu'il doit déjà y voir une commission en place par ici pour décider, une commission qui va nommer une commission qui va nommer une commission pour établir le droit et la Justice en ce sens.
Les gens d'ici qui sont libres majeurs et vaccinés, comme ils disent, c'est quand même leur Droit d'être protégés de tout ce qui n'est pas comme eux : eux qui sont tous ensemble des gens simples, simples, tellement simples et qui ne sont même pas heureux !
J’écrivais juste ça tel que, à un ami.
5 jours après, la nouvelle est tombée.
« Début 2025, un maire veut interdire les catastrophes naturelles car les bâtiments municipaux n'ont plus d'assurance. Il a décidé de prendre un arrêté pour y interdire les catastrophes naturelles, de manière sarcastique. La raison : il proteste contre les assureurs frileux face aux changements climatiques ! » (lien)
Et certes, le geste de ce maire est sarcastique et possède une touche d’humour au 2ème degré expliqué et assumé.
Mais je ne suis pas sûr que ce soit le cas pour beaucoup de ses ouailles.
Pas sûr.
Enfin bon, soyons artiste et optimiste.
Moi j'aime bien les deux, la mer calme et zen, et la mer sauvage, et aussi en plus la forêt.
Et certes, beaucoup ne peuvent pas ou ne peuvent plus considérer qu'on puisse aimer les deux, ou les trois, autant que beaucoup, beaucoup ne peuvent pas ou ne peuvent plus considérer du tout qu'on puisse être chez les humains un commerçant et un guerrier à la fois et encore en plus de tout ça juste un passant qui passe.
Et tout cela à la fois, et même bien plus.
Et certes, par temps de tempête, la mer est belle et unique.
Pour beaucoup de gens, et « c'est pas » des blagounettes non plus : je suppose qu'ils voudraient que la mer soit ou calme, ou sauvage, et ce sont là deux aspects de la mer deux personnalités deux facettes de la mer. Pour beaucoup de gens ici c'est simplement très perturbant et d'ailleurs ça n'existe pas, et il leur faut que la mer se décide de quel côté elle est.
Le bon à-priori à considérer les gens de « par ici ».
Et puis que la mer est belle et unique.
Voilà, oh ami lecteur, c’est sorti d'un trait comme ça !
Sinon tout va bien oh ami lecteur, be happy, et bonne soirée à toi et peut-être à M. Google aussi !
Odal GOLD